” Le Christ est ressuscité ! ”                  ” Le Christ est ressuscité ! ”            ” Le Christ est ressuscité ! ”            ” Le Christ est ressuscité ! ”            ” Le Christ est ressuscité ! ”              ” Le Christ est ressuscité ! ”            ” Le Christ est ressuscité ! ”            ” Le Christ est ressuscité ! ”              ” Le Christ est ressuscité ! ”       

La page des enfants n° 56 : Fête de saint Martin le 11 novembre

ST MARTIN 2004

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Le 11 novembre, marque, dans toute l’Europe, la fin de la première guerre mondiale. C’est le jour de la signature de l’Armistice, convention qui marque officiellement la fin des conflits entre les pays en guerre. Il débouche sur un traité de paix.

Nous pouvons noter l’occurrence de ce jour de fête et de ce jour férié.

Saint Martin de Tours, aussi nommé Martin le Miséricordieux est né dans l’Empire romain (actuelle Hongrie) en 316, et mort en Gaule, le 8 novembre 397.

Son père était un militaire de l’Empire romain. Martin suit son père en Italie lorsque ce dernier y est muté. Vers l’âge de dix ans, il veut se convertir au christianisme, car il se sent attiré par le service du Christ.

Son père est irrité de le voir se tourner vers une foi nouvelle : il force alors son fils de quinze ans à entrer dans l’armée. En mars 354, Martin participe à la campagne sur le Rhin contre les Alamans ; sa foi l’empêche de verser le sang et il refuse de se battre. Pour prouver qu’il n’est pas un lâche et qu’il croit en la protection divine, il propose de servir de bouclier humain. Il est enchaîné et exposé à l’ennemi mais, pour une raison inexpliquée, les barbares demandent la paix.

Il se fait baptiser à Pâques 3339, quitte l’armée et se rend à Poitiers. Il devient évêque de Tours en 371. Il passe le reste de sa vie comme soldat du Christ.

« Un jour, au milieu d’un hiver dont les rigueurs extraordinaires avaient fait périr beaucoup de personnes, Martin, n’ayant que ses armes et son manteau de soldat, rencontra à la porte d’Amiens un pauvre presque nu. L’homme de Dieu, voyant ce malheureux implorer vainement la charité des passants qui s’éloignaient sans pitié, comprit que c’était à lui que Dieu l’avait réservé. Mais que faire ? Il ne possédait que le manteau dont il était revêtu, car il avait donné tout le reste ; il tire son épée, le coupe en deux, en donne la moitié au pauvre et se revêt du reste. La nuit suivante, Martin s’étant endormi, vit Jésus-Christ revêtu de la moitié du manteau dont il avait couvert la nudité du pauvre ; et il entendit une voix qui lui ordonnait de regarder attentivement le Seigneur et de reconnaître le vêtement qu’il lui avait donné. Puis Jésus se tournant vers les anges qui l’entouraient leur dit d’une voix haute : « Martin n’étant encore que catéchumène m’a revêtu de ce manteau. »

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