« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Le corps aux côtés de l’âme dans les maladies psychiques et spirituelles

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Les Saints Pères, dans la continuité de l’anthropologie biblique, ont une conception de l’homme qui met l’accent sur son unité : l’unité du corps et de l’âme.  La Bible nous dit que dans la création de l’homme le corps a été créé en premier : « Alors le Seigneur Dieu modela l’homme avec la poussière tirée du sol ; il insuffla dans ses narines le souffle de vie, et l’homme devint un être vivant » (Gen. 2, 7).

Le corps apparaît comme une réalité essentielle, intimement liée au reste de la Création (car il est fait à partir de la poussière) et à l’âme (le souffle de vie), une réalité qui est déjà l’homme [1].

L’âme – le souffle de vie – n’est pas vie elle-même, mais elle participe à la vie donnée par Dieu ; l’âme était en communion avec Dieu et la grâce divine se transmettait à l’âme et au corps, puis à la Création entière.

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