« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Pour préparer l’Université d’été

Theologie du corps JC Larchet

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L’événement –

L’Université d’été de la Métropole Orthodoxe Roumaine d’Europe Occidentale et Méridionale se tiendra, comme les années précédentes, au mois d’août. Les dates qui ont été retenues sont les 23, 24, 25 et 26. Le thème général est celui de « L’homme et son corps ». Des conférences et des ateliers développeront chaque jour des aspects intéressants de ce sujet très actuel. Les inscriptions à ce stage sont encore ouvertes à l’adresse univdete@mitropolia.eu .

Se préparer

Les exposés que nous écouterons seront d’autant plus intéressants et enrichissants que nous aurons pu réfléchir sur le thème général à l’avance. Deux lectures accessibles vous sont proposées : Corps de mort et de gloire – Petite introduction à une théopoétique du corps, par Olivier Clément, Desclée de Brouwer, Paris, 1995, 140 pages ; et Théologie du corps, parJean-Claude Larchet, Cerf, Paris, 2009, 101 pages, 13€.

Un extrait

De ce dernier volume, voici quelques lignes suggestives.

« […] le christianisme, en sa réalité essentielle et originelle, apparaît comme l’une des religions qui ont le plus valorisé le corps, depuis une conception de la création où le corps est considéré comme fait lui aussi à l’image de Dieu, jusqu’à une représentation dela vie future à laquelle le corps est appelé à participer, en passant par une conception de la personne humaine comme composée indissociablement d’une âme et d’un corps, et qui donc non seulement a un corps, mais est  pour une part un corps marqué par toutes ses qualités spirituelles.

Cette valeur exceptionnelle reconnue au corps et qui lui donne son sens est sans doute liée à ce qui constitue le fondement même du christianisme, à savoir l’Incarnation, c’est-à-dire le fait que le Fils de Dieu est devenu homme en assumant non seulement une âme humaine, mais encore un corps humain, qu’Il a éprouvé en ce corps tout ce que nous éprouvons, qu’Il l’a en sa personne délivré de ses faiblesses et de ses maux pour le rendre incorruptible et lui octroyer la vie éternelle, et qu’Il l’a donné en nourriture à ses disciples et à ses fidèles pour les rendre participants de sa divinité et de tous les biens qui y sont attachés » (p. 11).

Nous ne souscrivons pas à la présentation du christianisme comme « l’une des religions » ; mais ce petit volume est très clair et très utile, et très court, pour une lecture qui permettra de bien suivre les débats anthropologiques de l’Université d’été.