« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Un nouveau livre de prière

Couverture-livre-de-prière Apostolia

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La prière des Saints

La Métropole roumaine d’Europe occidentale et méridionale, vient de mettre à la disposition des fidèles de langue française un Livre de prière (éditions APOSTOLIA, 2014, 523 pages). Dans l’avant-propos, le métropolite Joseph place ce volume sous la protection des saints du calendrier liturgique : « Les repères de la vie sont pour nous les Saints ; par eux nous apprenons à apprécier autrement la vie et le temps. C’est pourquoi précisément leur expérience et leur sainteté sont posées, dans le calendrier, comme repères du temps. Sans les Saints comme repères, le temps est un temps de mort : il s’écoule vers la mort avec laquelle tout pourrait se terminer […]. Le temps pour un chrétien ? – C’est le temps de la sanctification, le temps de Dieu ; c’est également le temps de l’humain : l’homme y tente de devenir vraiment humain, en découvrant et en acquérant l’amour éternel du Fis de Dieu. Celui-ci est né dans notre temps, entré dans l’histoire de l’humain pour lui révéler l’histoire qui est au-delà du temps, celle de l’amour éternel qui jaillit de Dieu lui-même, Celui qui n’a pas d’âge »

Richesse du volume

Le contenu de ce nouveau livre de prière en français est particulièrement riche : « prières usuelles » (Symbole de foi, prières d’entrée dans l’église, prières avant la Communion, prières de la table…), « prières diverses » (du matin, du soir, pour les malades, pour les voyageurs, pour demander le don de la prière, pour l’acceptation de la volonté de Dieu…) ; « prières pour diverses circonstances » (prière à tous les saints, prière de l’âme humble qui toujours se souvient de Dieu, pour le monde, pour les ennemis, avant la confession, après la sainte Communion…) ; « offices du jour » (vêpres, complies, matines, petites heures ; « hymnographie » (cantiques de l’ancien Testament ; hymnes acathistes, canon pascal…); « calendrier liturgique »).

La traduction

Celle des Psaumes et des cantiques de l’ancien Testament utilisée dans ce volume est de Père Placide (Deseille) ; les prières de saint Silouane, p. 60, viennent de Saint Silouane l’Athonite – Vie, doctrine, écrits (Cerf) ; les prières de préparation aux sacrements sont extraites du Buisson Ardent, Cahiers Saint-Silouane. Ce sont donc des versions françaises auxquelles nous sommes déjà, pour la plupart d’entre nous, habitués.

Pourquoi un nouveau livre de prière ?

Il s’inscrit dans la tradition de la communauté orthodoxe en France depuis la seconde guerre mondiale. Cette nouvelle édition est toutefois plus complète que les précédentes et doit beaucoup, c’est une de ses caractéristiques, aux textes de saint Silouane. Le nombre de prières pour toutes sortes de circonstances fait de ce nouveau volume une production unique. La qualité des traductions utilisées avec l’autorisation de leurs auteurs aide considérablement l’Orthodoxe français dans sa prière quotidienne. Un livre de prière est en effet indispensable. Notre prière s’y cultive et s’y nourrit. Nous apprenons à prier comme prie l’Église ; nous prêtons notre intelligence, notre cœur, nos lèvres à la prière des Saints et transcendons ainsi, comme le font les iconographes, notre propre individualité. Nous sommes des hommes et des femmes d’Église et celle-ci prie par nous.