« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

La prêtrise selon Chrysostome

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« Les prêtres sont le « sel de la terre » (Mt 5, 13) ; mais qui supporterait facilement notre sottise et notre manque d’expérience en tout, sinon vous qui êtes habitués à nous aimer de façon exagérée ? En effet, il faut non seulement que le prêtre soit pur pour être jugé digne d’un tel service, mais encore qu’il soit très averti et qu’il possède une expérience étendue. Il ne doit pas moins connaître les réalités de la vie que ceux qui vivent dans le monde, et il doit se tenir éloigné de toutes ces réalités plus que les moines qui ont gagné les montagnes. Comme il lui faut vivre en compagnie d’hommes qui ont une femme, qui élèvent des enfants, qui possèdent des serviteurs, qui sont environnés de grandes richesses, qui gèrent les affaires de l’État, qui ont des charges importantes, il faut qu’il soit divers. Divers, dis-je : non pas trompeur, ou flatteur, ou hypocrite, mais plein de liberté et de confiance, sachant se mettre à la portée des autres de façon efficace, lorsque les circonstances l’exigent ; être à la fois bon et sans complaisance. En effet, il n’est pas possible de traiter de la même manière tous ceux qu’on a sous son autorité, puisqu’il ne convient pas non plus que les médecins appliquent un seul traitement à leurs malades, ni que le pilote ne connaisse qu’un seul moyen de lutter contre les vents ; car des tempêtes constantes assiègent ce vaisseau et ces tempêtes ne viennent pas seulement de l’extérieur : elles s’élèvent également de l’intérieur ; elles exigent beaucoup de souplesse et de perspicacité. Toutes ces préoccupations différentes n’ont qu’un but : la gloire de Dieu et l’édification de l’Église ».

(Sur le Sacerdoce, VI, 4, 65-68, SC 272, quelques corrections de notre main)

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