« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

L’Aveugle-né

la sainte Face

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Le don de la vue –

Les péricopes évangéliques du temps de Pentecôte se rapportent, chaque dimanche, aux dons que ceux qui croient en Jésus ressuscité attendent du saint Esprit. Un don magnifique est annoncé aujourd’hui (Jean 9, 1-38) : celui de voir Jésus. Par la grâce du saint Esprit, et en raison de notre foi (« je crois, Seigneur », dit l’aveugle-né), nous pouvons, dès cette vie, avoir la révélation du visage du Sauveur.

Voir Jésus –

Nous pouvons passer d’un état de cécité à laquelle nous nous sommes habitués comme s’il était naturel, à une vie nouvelle, remplie d’un grand sentiment d’adoration, et, en toute circonstance, comme le fait le personnage de ce jour, nous « prosterner devant Jésus » et l’adorer. Mais, sachons que la vision du Sauveur n’est pas seulement dans les apparitions bienheureuses que connurent de si nombreux chrétiens ; elle consiste également à voir Jésus présent en toute circonstance et en toute personne humaine. Nous pouvons ainsi le glorifier en tout temps avec le Père et l’Esprit.

La beauté du Sauveur

Père Lev Gillet (« un moine de l’Église d’Orient ») magnifie le visage du Sauveur Jésus Christ. « Si j’étais capable de regarder Jésus seul, si je ne me laissais aller à considérer le danger ou la tentation et à commencer avec eux une sorte de dialogue, je pourrais marcher sur les eaux. Toutes mes fautes ont pour origine un affaiblissement ou une disparition de l’image de Jésus (…) Je dois former lentement et en profondeur cette image de Jésus. Ou plutôt je dois me rendre malléable pour que Jésus grave sa face sur mon cœur.

La beauté de la face du Sauveur non seulement attire. Elle agit et transforme. Si notre regard intérieur est assidu, la beauté de Jésus nous pénètre, à proportion de cette assiduité.

Seigneur, montre-moi ta face ; et toutes mes difficultés fondront comme de la neige au soleil. Contemplant ta face, nous serons absorbés dans ta lumière, élevés de clarté en clarté, changés en ton image »

(Jésus, simples regards sur le Sauveur, Chevetogne, 1962, p. 35).

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