« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Je suis désespéré ; j’ai cessé de prier parce que Dieu ne m’écoute pas…

Saint Silouane

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Fraternité

Frère et ami, votre lettre nous a profondément touchés, par la souffrance et le désespoir qu’elle exprime, et pourtant la confiance dans une éventuelle oreille fraternelle… Nous avons été tout d’abord désemparés, nous vous le disons en toute sincérité et sans prétentions… Que dire, sinon que nous pouvons prier avec vous, pour vous, dans le sens de « à la place de ». Cela veut dire que nous demandons à Dieu la grâce de nous mettre un peu à votre place, qu’Il nous fasse connaître par son saint Esprit comment vous rejoindre. Peut-être, dans la prière, recevrons-nous cette grâce de la divine compassion: souffrir avec autrui de l’intérieur de sa souffrance, non du bord de l’eau où se noie le frère. Peut-être pouvez-vous également prier pour nous, afin qu’il nous soit accordé la grâce de vous rejoindre, avec humilité et amour véritable… En attendant ce miracle, nous essayons de vous tendre l’oreille du coeur et une main fraternelle, aveugle et paralytique que nous sommes l’un et l’autre, et nous osons partager avec vous ce que nous croyons…

Confesser ses péchés

Il semble que, dans votre lettre, le plus important est le regret que vous avez de la colère. Le repentir est une bonne voie : on n’a pas raison contre Dieu. Peut-être pourriez-vous, quoique vous vous soyez éloigné des sacrements, essayer de vous confesser, en commençant par les fautes les plus anciennes de votre vie pour arriver aux plus récentes. Demander pardon de nos fautes nous ouvre au mystère de la miséricorde divine, surtout quand nous ne nous justifions pas, et que nous n’accusons pas non plus Dieu ou le prochain. Ce n’est pas une explication (psychologique) que l’on attend du sacrement de l’absolution: c’est le miracle du pardon, sur la base de la foi, si nous croyons le Christ qui dit aux pasteurs: « Ce que vous délierez sur terre le sera dans les cieux ». Bien sûr, il faut pouvoir croire en cette parole, croire le Christ sur parole. Le 14 septembre nous glorifions sa sainte et vivifiante Croix et, pendant la célébration matinale, une voix nous disait: Aujourd’hui, c’est l’Exaltation de la Croix, écris-lui!

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Je suis désespéré, j’ai cessé de prier…