« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

L’Evangile a-t-il besoin de commentaires ?

Rabbin commentant la Torah

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L’Evangile se suffit à lui-même –

En lui-même, l’Evangile, que nous appelons « le saint Evangile », n’a pas besoin de commentaire.

Il se suffit à lui-même, en tant que présence invisible de Jésus-Christ, le Fils de Dieu.

En ce sens, il est comparable à l’Icône : elle également se passe de commentaire.

L’Evangile, comme l’Icône, comme la Croix, sont l’objet de la vénération des chrétiens orthodoxes : nous nous prosternons devant eux, nous les embrassons, nous y appuyons notre front ; nous nous levons quand ils sont portés en procession au sein des offices de l’Eglise.

L’Evangile est, non seulement montré ostensiblement, mais il est proclamé, chanté de façon audible et intelligible dans le cadre de la prière de la Communauté.

L’Eglise se définit comme tradition d’interprétation de la Parole

Toutefois, l’Eglise a toujours demandé à ce que le commentaire du saint Evangile soit fait à la suite de sa proclamation dans les offices (office de matines ou divine liturgie, par exemple).

Ce commentaire, ou homélie, est, depuis les temps anciens de l’Eglise, obligatoire.

Il revient d’abord à l’Evêque, puis, par délégation, au Prêtre, de commenter la Parole de Dieu.

L’Evêque peut également confier cette prédication à un diacre, à un moine, à un laïc bien préparé pour cela.

Transmission de l’interprétation

Le commentaire de l’Evangile, et en général de toute forme prise par la Parole de Dieu, consiste, non dans une explication humaine, mais dans la transmission de l’interprétation que le tradition de l’Eglise peut donner de ce texte.

En effet, on voit par l’histoire du baptême de l’eunuque éthiopien (Actes…) que l’Eglise interprète de façon particulière les saintes Ecritures en y discernant la présence du Christ et de son oeuvre du Salut.

C’est pourquoi le Christ a enseigné cette méthode d’exégèse et a dit de scruter les Ecritures parce qu’elles rendent témoignage de lui.

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