« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Noël ! Noël !

Nativité

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Les mages et nous ! –

« Suivons donc, nous aussi les mages. Quittons le pays barbare de nos mauvaises habitudes et faisons un long voyage pour voir Jésus Christ, puisque, si les mages n’avaient pas fait un si long chemin, ils n’auraient jamais eu ce bonheur. Séparons-nous de tous les embarras de la terre.

Tant que les mages demeurèrent en Perse, ils ne virent qu’une étoile. Mais lorsqu’ils l’eurent quittée, ils furent dignes de voir le Soleil même de justice. Levons nous, nous aussi, et quand toute la terre serait en trouble, hâtons-nous d’aller à la maison de cet enfant. Quand les rois, quand les peuples, quand les tyrans voudraient nous en couper le chemin, ne laissons point éteindre notre ardeur par ces obstacles puisque c’est ainsi que nous les vaincrons.

Si les mages n’avaient pas été constants, jusqu’à la fin, et n’avaient pas vu l’enfant, ils n’auraient pas évité les maux dont ils étaient menacés par Hérode. Ils sont environnés de craintes, de périls, et de troubles, avant d’adorer l’enfant, mais aussitôt après ils sont dans la paix et dans le calme.

Ce n’est plus une étoile qui les instruits mais un ange qui leur parle, parce qu’ils étaient devenus prêtres en adorant Jésus Christ et en lui offrant leurs dons. (saint Jean Chrysostome : Sur Saint-Mathieu)

Le défi du Dieu Homme

Dieu, devenu homme en s’incarnant, est devenu infiniment proche de nous. Il est de notre race. Il porte notre chair, il a une généalogie, il a un nom, un visage…

Dieu se fait homme. Il entre dans le monde, Il prend sur lui, non seulement notre état de créature, c’est à dire la chair, l’âme humaine, l’esprit, le cœur, la volonté, un destin personnel, mais Il se charge de tout le destin de cet homme qui vit dans un monde déchu et dénaturé, dans un monde effrayant où ne cessent de se déployer – parfois avec des accents de triomphe – la haine, la peur, l’avidité.

Il entre dans ce monde et assume toutes les conséquences du traitement auquel le monde est soumis par l’homme. Pur de toute souillure il vit dans le monde où s’écroulera sur lui tout ce qui est impur, mauvais, corrompu, indigne de l’homme, parce que, au regard du monde déchu, Il représente un défi.

Transfigurer

Il ne nous a pas lâché dans la vie pour que nous réglions nos comptes avec elle. Il est entré dans cette vie et Lui-même est prêt, avec nous, à la changer, à la transfigurer. Tout l’Évangile nous parle de ce changement. »

(métropolite Antoine Bloom).

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