« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Sagesse chrétienne en famille

Famille heureuse

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Le bébé est une personne –

« L’éducation des enfants commence dès l’instant de leur conception. Le fœtus, dans le ventre de sa mère, entend et ressent tout. Oui, il entend, et il voit avec les yeux de sa mère. Il perçoit les mouvements et les sensations de celle-ci, même si son esprit ne s’est pas encore développé. Le visage de la mère se couvre-t-il d’une ombre, ténébreux est aussi l’enfant. La mère s’énerve-t-elle, il s’énerve aussi. Tout ce que la mère ressent – chagrins, douleur, peur, angoisse, etc. -, l’enfant le vit aussi. Si la mère ne veut pas de ce fœtus, si elle ne l’aimer pas, celui-ci le ressent, des blessures de sa petite âme en résultent, qui l’accompagnent toute sa vie durant. C’est le contraire qui se produit si la mère est dans des sentiments de sainteté. Si elle a des sentiments de joie, de paix, d’amour envers le fœtus, elle les lui transmet par une voie mystérieuse, de la même manière que cela se passe avec les enfants déjà nés. C’est pour cette raison-là que la mère doit prier beaucoup dans le temps de la gestation.

La sainteté des parents

[…] Ce qui sauve et fait de bons enfants c’est la vie des parents dans la maison. Les parents doivent s’abandonner à l’amour de Dieu. Ils doivent devenir saints, auprès de leurs enfants : par leur douceur, leur patience, leur amour. Chaque jour, qu’ils inspirent à leurs enfants un ordre nouveau, une ardeur nouvelle, enthousiasme et amour. La joie qui leur en reviendra, la sainteté qui les aura visités feront rejaillir la grâce sur leurs enfants. D’une manière générale, ce sont les parents qui portent la responsabilité de la mauvaise conduite des enfants. Ce ne sont ni les conseils, ni la discipline, ni la sévérité qui peuvent les sauver. Si les parents ne font aucun effort de sanctification, s’ils ne luttent pas, ils commettent de grandes fautes et transmettent le mal qui est en eux. Si les parents ne vivent pas une vie de sainteté, s’ils ne parlent pas avec amour, le diable fait souffrir les parents par la réaction de leurs enfants. L’amour, l’harmonie des cœurs, la bonne entente entre les parents, voilà tout ce qu’il faut pour les enfants. C’est là une grande assurance, une grande sécurité.

La prière des parents

[…] C’est au sein de la famille que se situe une grande part de responsabilité touchant à l’état spirituel de l’être humain. […] Parents, priez en silence, élevant vos bras vers le Christ et embrassant ainsi vos enfants d’une manière mystique. Et s’ils commettent des actes d’indiscipline, prenez certaines mesures pédagogiques, mais n’exercez pas de pression sur eux. Priez surtout. »

(P. Porphyre, Vie et paroles, Paris, 2009, p. 252-255)