« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Les orthodoxes semblent avoir des positions diverses sur l’oecuménisme

Oecuménisme autour d'une table

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La bienveillance –

Les relations avec des chrétiens non orthodoxes, pour être agréables à Dieu, doivent être, pour les Orthodoxes, empreintes de bienveillance et d’humilité. L’apôtre Paul écrit par exemple (Colossiens 4, 5-6) : « Conduisez-vous avec prudence envers ceux qui sont hors de l’Eglise, sachant profiter des circonstances. Que votre parole soit toujours aimable, assaisonnée de sel en sorte que vous sachiez comment il faut répondre à chacun ». La bienveillance, l’humilité et le discernement conviennent à ceux qui ont à charge de témoigner de la vérité.

Le terme d’ « oecuménisme »

Le terme d’ « oecuménisme » est utilisé improprement pour désigner les relations que des chrétiens confessant des vérités différentes ou même contradictoires ont entre eux. Ce terme devrait être réservé à l’oecuménisme de la foi et de la Tradition, tel qu’il se manifeste dans les sept conciles qui portent à juste titre ce nom. N’ont ce caractère œcuménique que les chrétiens et les Eglises qui gardent la tradition des Apôtres et des Pères sans l’altérer. Les Eglises Sœurs sont celles qui conservent la communion dans cette même foi et cette même tradition. Ce nom ne convient pas à des chrétiens et des Eglises qui se maintiennent délibérément en dehors de cette unité ecclésiale.

Un oecuménisme de compromis

Il existe un « oecuménisme de compromis », plus grave que les compromissions politiques. Ce prétendu « oecuménisme » est taxé à juste titre par les moines orthodoxes d’ « hérésie », puisqu’il relève de « choix » arbitraires, et qu’il est animé par un relativisme étranger à la pensée chrétienne. Il revient à la conscience orthodoxe de le réfuter courageusement, avec bienveillance, amour et humilité. Dans cette mesure, un Orthodoxe refuse de participer à des offices « oecuméniques », qui reviennent à des formes de concélébration alors que manquent l’unité de foi et l’unité d’obéissance à la Tradition. La reconnaissance elle-même du baptême des hétérodoxes n’est qu’une économie: elle est sujette au discernement, et peut être justement contestée.

L’oecuménisme de témoignage

Il existe également un « oecuménisme de témoignage », que défendent les évêques. La conscience orthodoxe y manifeste courageusement et humblement son amour de la sainte Tradition, et fait tout ce qui lui appartient pour faire aimer cette vérité, en la présentant de façon intéressante et convaincante, en y montrant la jeunesse et la modernité éternelles de l’expérience chrétienne ecclésiale.

lire la suite …  Oecuménisme de témoignage -suite-

et pour approfondir …  Pour une méthode orthodoxe en oecuménisme