« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Père Porphyre, Anthologie de conseils

Père Porphyre

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« Aimons de l’amour du Christ, non d’un amour humain. Il y a deux ans, une mère est venue ici, pour que je lui parle de ses quatre enfants. Je lui dis : “Faites attention à Charalampos, car celui-là vous battra un jour” (il avait douze ans, à l’époque). Cela la mit hors d’elle.

“Que dites-vous là, Père ? Charalampos est le meilleur de mes enfants. Je suis attentive à lui et je l’aime plus que tous, car c’est mon plus jeune.

Tu ne l’aime pas de l’amour du Christ et tu lui fais du mal.”

Elle ne m’a pas cru. Elle s’en est allé fâchée, en proliférant certaines paroles contre moi. Moi, j’ai prié et je l’ai laissé entre les mains de Dieu.

Elle est donc venue ici avant-hier, repentie. “Pardon Père. Nous ne t’avions pas compris à l’époque. Nous disions que tu trompais les gens. Maintenant je crois que c’est Dieu qui t’illumine. Charalampos, Père, est parti d’auprès de moi. C’est devenu un sauvageon. Nous avons même été battus. Que faire maintenant ? C’est vrai que je ne l’aimais pas de l’amour du Christ. Je lui ai fait du mal…” Et elle pleurait. » (p. 232 – 233).

« Avant tout », l’enfant « a besoin à ses côtés d’un homme dont la prière est grande et fervente… La mère ne doit pas se contenter de la caresse sensible qu’elle prodigue à son enfant ; elle doit s’exercer à la caresse spirituelle de la prière… La mère, dans sa prière pour son enfant, doit fondre comme un cierge. Elle doit prier en silence, et les mains levées vers le Christ, embrasser secrètement son enfant. » (p. 222).

> Editions L’Age de l’homme, Lausanne, Suisse, 2007

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