« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

Une vision de l’Eglise

Therese de Lisieux

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Il y a bien des pages de la bienheureuse Thérèse où l’âme chrétienne universelle se retrouve. L’humble géante spirituelle nous montre par exemple l’Église du Christ dans sa réalité profonde, celle de l’amour divino humain, qui a sa source dans le Père, sa manifestation dans le Fils et sa communication dans l’Esprit… L’amour est le critère de la vérité ; la vérité est la glorification de l’amour ; la vie des saints prouve l’un et l’autre.

« L’amour me donna la clef de ma vocation.

Je compris que si l’Eglise avait un corps, composé de différents membres, le plus nécessaire, le plus noble de tous ne lui manquait pas.

Je compris que l’Eglise avait un cœur, et que ce cœur était brûlant d’amour.

Je compris que l’amour seul faisait agir les membres de l’Eglise.[…]

Je compris que l’amour renfermait toutes les vocations, que l’amour était tout, qu’il embrassait tous les temps et tous les lieux… en un mot qu’il est éternel !

Alors, dans l’excès de ma joie délirante, je me suis écriée : ô Jésus, mon Amour […], ma vocation, enfin je l’ai trouvée, ma vocation c’est l’amour. »

(Thérèse de Lisieux, Manuscrits autobiographiques, Ed. du Carmel de Lisieux, 1957, p. 229)

 

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