« Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                    « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »              « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                   « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! »                  « Gloire à ta miséricorde infinie, Seigneur, gloire à toi ! » 

La théorie du « genre » à l’École : un texte à débattre de P. Daniel Ange.

une femme un homme

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L’endoctrinement

« […] L’endoctrinement des enfants sur le « gender » est une des pires calamités qui les menace, et à long terme l’ultime coup de bélier achevant la destruction interne de nos familles [1].

Déjà, il était imposé aux 1ères-secondes – non en philo comme une thèse à débattre, mais en SVT alors qu’elle est totalement anti-scientifique [2]. Et voici qu’en septembre, elle sera obligatoire dès le primaire ! (et sous forme d’exercice pratique dès la maternelle et même la crèche). C’est-à-dire que cette idéologie débile va formater tous les élèves de France, sans exception, de la maternelle au lycée, de leurs 5 à 18 ans et encore… vont-ils retrouver ces sornettes à la Sorbonne ! (chaire de Gender studies — «  présage  » — à Sciences Po.). Elle risque [également] de s’infiltrer par le biais des cours d’éducation sexuelle qui vont être obligatoires dès la rentrée, à partir de 6 ans !

L’objectif

L’objectif visé est explicite : «  Dépasser la binarité historique entre féminin et masculin  » (sic). En général, l’enseignement ne sera plus «  fondé sur le postulat de la complémentarité des sexes  ». La preuve : les enseignants doivent s’appuyer sur la Ligne Azur 2012, dont une des dominantes est que l’identité se fonde sur le sentiment d’appartenance à un genre ou à un autre, indépendamment de toute donnée anatomique ou biologique.

Le vertige vous saisit en lisant le dossier du SNU-FS : Éduquer contre l’homophobie (en fait les LGBT phobies) dès l’école primaire, (préfacé par M. Teychenné qui prépare, au nom de Vincent Peillon, le manuel qui sera imposé dès la rentrée). Visée  : «  déconstruire la complémentarité des sexes  » — en brisant «  les stéréotypes et les assignations sexuées pour reconstruire de nouveaux fondements républicains  », «  transformer en profondeur la société  » (p. 23-24) (…). « Dans ce modèle, l’ordre social et politique est premier, et non pas un prétendu ordre naturel qui n’est que notre manière de lire, de construire la nature  » [3].

Déclarations ministérielles

Ce n’est que l’application, la mise en pratique des déclarations péremptoires du ministre Peillon : « Le gouvernement s’est engagé à s’appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités, notamment par le biais d’une éducation au respect de la diversité des orientations sexuelles. (…) Cette morale que nous allons construire, sera indépendante de tout déterminisme familial, ethnique. (…) Les enseignants devront suivre une formation aux thématiques sociétales : lutte contre tous les stéréotypes  » (on sait ce que cela sous-entend). Le but de cette morale laïque sera d’arracher l’élève à tous les déterminismes familial, ethnique, social, intellectuel (« arracher » est le mot exact).

 

Lire la suite… La théorie du genre à l’école Père Daniel Ange

Les titres des paragraphes sont les nôtres.